Dans vos yeux fiévreux aux couleurs de l'Enfer
La Vie joue désormais son ultime combat
La Haine se mele aux illusoires et vaines prières
Alors que déjà vous passez dans l'o de la.
Votre corps s'affaisse comme un ballon crevé
Et va inonder la terre de vos entrailles déchirées
Cette vie rampante dans votre chair se repait
Alors que dans la Mort vous ignorez le mot Paix.
Le jour devient noir de peuples miraculés
Qui se disputent, acharnés, votre coeur dénudé
L'air suffoquant de votre puanteur décharnée
Attirent les grands rapaces aux ailes endeuillées.
Et déjà vous disparaissez sous cette masse grouillante
Que la guerre meurtrière à préservé de la haine
Et sauvegardé comme une injure à la folie humaine
Afin que tout s'achève sur la Mort triomphante.