Dans le noir, je ferme les yeux
Je n’y vois rien, comme dans un creux
Le creux d’une vague
Où sans arrêt on divague
La nuit naît, le jour meurt
Une journée de plus qui s’achève
Noyé dans les cris, dans les pleurs
Et demain, cela recommencera, sans aucune trêve
Soir d’été, que vous m’êtes doux
Couchers du soleil qui enchantent mon cœur
A quoi servez-vous,
Si de ces enfants vous ne calmez pas les pleurs
05/07/96